Tout le monde émet une mystérieuse lueur jusqu’à sa mort : la passionnante découverte de chercheurs canadiens
Selon de récentes recherches, une mystérieuse lueur accompagnerait chaque être vivant tout au long de sa vie, et disparaîtrait au moment même de la mort.
« Le corps humain scintille littéralement », écrivaient en 2009 des chercheurs du Tohoku Institute of Technology (Japon). Au moyen de caméras extrêmement sensibles, ces derniers avaient en effet révélé qu’une étrange lueur accompagnait le corps de leurs sujets, en train de dormir.
Une découverte fascinante, d’autant que cette lumière, vraisemblablement d’origine biologique, est particulièrement intense autour de notre visage. Impossible pourtant de la voir à l’œil nu, celle-ci étant trop faible pour être perceptible par l’œil humain.
S’il s’était avéré que cette « émission biologique de photons ultrafaibles » (EPU) variait au fil de la journée, suggérant qu’elle soit influencée par notre rythme circadien, de nouvelles recherches, impliquant des végétaux et des rongeurs, ont permis d’approfondir encore un peu plus ce phénomène.
Une lueur liée à la vie
Grâce à de nouveaux systèmes d’imagerie toujours plus sensibles, capables de détecter des photons individuels, une équipe de l’université de Calgary (Canada) estime aujourd’hui détenir une preuve « très claire » de l’existence de ces « biophotons ». Les scientifiques racontent ainsi dans le Journal of Physical Chemistry Letters comment ils ont testé l’émission biologique de photons ultrafaibles, en commençant d’abord sur des plantes, qu’ils ont soumises à un stress intense.
Après avoir infligé des coupures aux feuilles d’un arbre parasol (Heptapleurum arboricola), les chercheurs ont pu constater que le mécanisme de réparation des blessures de la plante augmentait l’émission de biophotons, et donc de lumière. En outre, l’application d’un anesthésiant a produit le même effet. Voir cette lumière pourrait permettre, selon ces résultats, de mieux appréhender la santé de nos forêts.
Mais ce n’est pas tout : ce mystérieux scintillement s’est brutalement estompé peu après l’euthanasie de souris, illustrant le lien étroit existant entre les biophotons et le métabolisme. Un constat frappant qui fait dire aux chercheurs que l’EPU est « indéniablement associée à la vie ». À la « lumière » de ces expériences, il apparaît que toute forme de vie est dotée d’une sorte d’aura, variant selon les conditions et la situation de ces êtres vivants.
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