UBS/Credit Suisse : un «bon accord» mais vigilance de Paris à la réaction des marchés
Au lendemain de l’annonce du rachat à prix cassé de la banque Credit Suisse par sa grande rivale UBS, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire a salué un « bon accord », affirmant que le gouvernement restait attentif à ses conséquences sur les marchés.
« Je me réjouis de cet accord, c’est un bon accord », a affirmé le ministre sur RMC/BFM TV. « Pour autant nous parlons d’une banque qui a un bilan de plus de 750 milliards d’euros, elle pèse lourd dans le contexte européen donc nous restons extrêmement vigilants sur la réaction des marchés », a-t-il ajouté.
Les « deux séries de problèmes », Crédit Suisse et des défaillances de la régulation américaine, « ne concernent pas les banques françaises et européennes », a assuré lundi le gouverneur de la Banque de France. « Les banques françaises sont très solides » et « aucun problème ne concerne les banques françaises », a affirmé François Villeroy de Galhau sur France Inter au lendemain de l’annonce du rachat de Credit Suisse, en grandes difficultés, par sa rivale UBS.
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