Un bateau égyptien vieux de 4500 ans déterré sur le site des pyramides d’Abousir

Titelbild
Le site de fouilles où le bateau a été retrouvé. (Czech Institute of Egyptology)
Von 7 février 2016

Un bateau funéraire datant approximativement de 2550 avant J.C. a été déterré en Égypte par des archéologues.

Sur le site des pyramides d’Abousir au sud du Caire, une équipe a trouvé des restes d’un vaisseau en bois datant de 4500 ans. Les chercheurs mandatés par le ministère des antiquités pensent que ce dernier a du appartenir à un membre important de la société.

(via Facebook)

(via Facebook)

Des parties d’un vaisseau long de 18 mètres, avec des poteries, ont été retrouvées couvertes de sable et gisant sur un lit de pierre par une équipe de l’Institut tchèque d’archéologie à l’Université de Charles. Le vaisseau semble dater de la fin de la Troisième ou du début de la Quatrième dynastie.

« C’est une découverte très inhabituelle étant donné durant cette période, les bateaux de cette taille et leur construction était seulement réservés aux membres les plus élevés de la société, le plus souvent à la famille royale » indique le directeur de la mission tchèque dans son rapport.

Les restes furent trouvés brulés près de la mastaba du mur sud, indiquant, d’après Miroslav Barta, la « position sociale extrêmement élevée du possesseur de la tombe ».

« C’est dans tous les sens du terme une découverte remarquable », a t-elle déclarée. « L’excavation et l’enregistrement du bateau d’Abousir seront une contribution considérable à notre compréhension de la marine de l’Égypte ancienne et de leur place dans le culte funéraire. Et là où il y a un bateau, il peut très bien en avoir plus ». À ce jour, on estime que 85 % des vestiges de l’Égypte antique gisent sous les sables et restent à découvrir.



Kommentare
Liebe Leser,

vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.

Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.

Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.


Ihre Epoch Times - Redaktion