Un bébé phoque retrouvé mort après avoir ingéré du plastique
En juin dernier, un bébé phoque du Groenland a été retrouvé mort sur l’île de Skye, en Écosse, relate le National Geographic.
[epoch_video navurl= » »]
[/epoch_video]Celui-ci a réalisé une série d’articles rassemblés dans le cadre d’une campagne dénommée Planète ou plastique, consacrée à la crise mondiale des déchets plastiques.
Le corps du bébé phoque a alors été ramené au Scottish Marine Animal Stranding Scheme (SMASS), une organisation gouvernementale chargée d’enquêter sur la mortalité des mammifères marins. L’autopsie a été réalisée par le pathologiste vétérinaire Andrew Brownlow, qui a retiré un bout de plastique de l’estomac du petit animal, âgé entre 8 mois et 1 an. Mercredi, le vétérinaire a publié un post sur la page Facebook de la SMASS qu’il dirige aussi.
« Il est très rare que des phoques ou des cétacés ingèrent du plastique », a déclaré Andrew Brownlow. « Ces animaux sont intelligents et sont capables de faire la différence entre une proie et du plastique ».
La SMASS est généralement appelée après échouage de phoques gris ou de veaux marins, nombreux en Écosse. Mais les phoques du Groenland, qui vivent normalement en Arctique, se retrouvent rarement en Écosse.
Andrew Brownlow pense que le blanchon est né dans le nord de la Norvège et qu’il s’est mystérieusement dirigé vers le sud. Peut-être s’est-il perdu ? Ou a-t-il suivi d’autres phoques ou une proie ? On ne le saura jamais.
Quant au morceau de plastique froissé de 5 cm retrouvé dans l’estomac du bébé phoque, le vétérinaire estime qu’il a endommagé le tissu de l’estomac, permettant aux bactéries de l’intestin de se retrouver dans le sang de l’animal. En effet, le blanchon était déjà malade et n’aurait donc pas vécu vieux, mais le plastique a pu accélérer sa mort.
vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.
Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.
Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.
Ihre Epoch Times - Redaktion