Un nouveau-né blessé par un scalpel lors de l’accouchement

Titelbild
(Capture d'écran Facebook)
Von 2 septembre 2018

Le 24 août dernier, à la polyclinique de Reims-Bezannes, un nouveau-né a reçu un coup de scalpel lors d’une césarienne. Sa maman a témoigné sur sa page Facebook et n’a pas hésité à publier des photos.

[epoch_video navurl= » »]

An dieser Stelle wird ein Video von Youmaker angezeigt. Bitte akzeptieren Sie mit einem Klick auf den folgenden Button die Marketing-Cookies, um das Video anzusehen.
[/epoch_video]

« Je rentre le 24 août pour une césarienne prévue… Je rencontre l’équipe médicale… Le gynéco l’anesthésiste et j’en passe. […] Durant le découpage de mon bidon (disons les choses comme elles sont) ma princesse prend un coup de scalpel, oui un coup de SCALPEL… … Résultat 6 points de suture 2 strips… comment dire… Heureusement que ce n’est pas sur le visage… », écrit la mère de famille.

Cette maman aura surtout été choquée de l’attitude du gynécologue qu’elle qualifie d’« inhumain » puisqu’il ne s’est pas excusé, rétorquant encore : « C’est pas grave, c’est dans les cheveux ! » En outre, elle explique qu’elle a beaucoup souffert car l’anesthésiste n’aurait pas bien dosé le produit.

« Je ressens tout, j’ai mal, je hurle, je pleure… Si je n’avais pas hurlé, pleuré, supplié qu’on me fasse faire dodo, j’aurais sûrement terminé l’intervention à vif… Ce fut long… L’anesthésiste avait quitté le bloc…Quand elle est enfin revenue… On m’a rendormie et trou noir jusqu’à la salle de réveil… « 

Mais elle conclut quand même son compte-rendu par une note positive, ajoutant que le personnel s’est bien occupé d’elle et de son enfant. « Mon séjour s’est amélioré grâce à vous », conclut-elle.

Selon Yves Noël, aucune faute n’a été commise par les médecins. « Il s’agit heureusement d’une blessure superficielle, qui n’apporte pas de conséquence esthétique, car l’enfant est replié sur lui-même et c’est toujours le haut de la tête qui sort le premier », explique-t-il au journal.

La maman, qui avait d’abord envisagé de porter plainte, attend désormais un dialogue avec la clinique.



Kommentare
Liebe Leser,

vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.

Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.

Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.


Ihre Epoch Times - Redaktion