Val-d’Oise: une joueuse de 19 ans fait un arrêt cardiorespiratoire en plein tournoi de basket
Une jeune joueuse de basket-ball de 19 ans a été victime d’un arrêt cardiaque en plein tournoi ce samedi à Bezons (Val-d’Oise). Elle a été transférée en urgence absolue à l’hôpital Necker, à Paris.
Ses coéquipières et les spectateurs sont encore sous le choc. Samedi, lors de l’Open Plus Access Juniorleague CD95, un tournoi de basket à Bezons (Val-d’Oise), une joueuse de 19 ans a été victime d’un arrêt cardiorespiratoire. La compétition a été logiquement interrompue, précise le Comité départemental du Val-d’Oise de basket-ball dans une story Instagram.
Les faits se sont produits en fin de matinée. Bien que des témoins sur place soient rapidement intervenus pour réanimer la victime, les pompiers ont très vite pris le relais avant qu’une unité ECMO (Oxygénation par membrane extracorporelle) soit demandée en renfort.
Une intervention sur place qui a duré près de 5 heures
Cette technique de sauvetage, utilisée en dernier recours, permet une assistance à la fois cardiaque et respiratoire à des personnes dont le cœur ou les poumons ne sont plus en mesure d’assurer un échange gazeux suffisant. La jeune joueuse de 19 ans a dans la foulée été transférée en urgence absolue à l’hôpital Necker, à Paris, par le SMUR.
Secoués par l’incident, 24 personnes, présentes dans le gymnase de Bezons, ont été prises en charge par une cellule d’aide psychologique. Selon CNews, l’intervention sur place a duré près de cinq heures et a requis l’intervention de huit sapeurs-pompiers du Val-d’Oise et de quatre secouristes de la Croix-Rouge.
vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.
Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.
Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.
Ihre Epoch Times - Redaktion