Vidéo – « Je vous déteste, vous et Monsieur Macron » : une dame perd son mari après la 3e dose du vaccin contre le Covid et s’en prend à Jean-Michel Blanquer
Lors de sa campagne dans le Loiret pour les législatives, l’ancien ministre de l’Éducation Jean-Michel Blanquer a été interpellé par une veuve. Son mari est décédé, selon elle, des suites de sa troisième injection du vaccin contre le Covid-19 – causé par le virus du PCC (Parti communiste chinois).
« Vous savez pourquoi mon mari est mort ? Vous savez quand est-ce qu’il est mort ? Au mois de janvier, après la troisième dose, cancer foudroyant, il est parti en trois jours », raconte-t-elle, les sanglots dans la voix. « Maintenant mes enfants sont seuls (…), ils n’ont plus de père. Au mois de septembre vous voulez vacciner nos enfants, vous voulez les faire vacciner avec ce poison ? » s’insurge la dame.
Cette maman perd son mari après la 3ème dose et s’en prend à J-M Blanquer : » mes enfants n’ont plus de père… non, ne rigolez pas, svp… »
Ce sont les vaccinés qui se révolteront… parce qu’ils découvrent chaque jours, qu’on leur a menti et perdent des êtres chers, des proches… pic.twitter.com/sM5ZfT6bep— Florent Chenu (@ChenuFlorent) June 6, 2022
« Non rigolez pas s’il vous plaît »
« Non rigolez pas s’il vous plaît, car çà c’est insolent ce que vous êtes en train de faire ! (…) Vous pouvez pas savoir à quel point je vous déteste, vous et Monsieur Macron, vous avez tué mon mari et le père de mes enfants ! »
***
Chers lecteurs,
Abonnez-vous à nos newsletters pour recevoir notre sélection d’articles sur l’actualité.
https://www.epochtimes.fr/newsletter
vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.
Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.
Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.
Ihre Epoch Times - Redaktion