Vidéo – Vaccination obligatoire : 20 pompiers suspendus déposent leur casque sur le parvis de la préfecture à Strasbourg
Alors même que ces professions dénoncent le manque d’effectifs depuis des années, des sapeurs-pompiers ont déposé leur casque pour dénoncer leur suspension et leur refus de la vaccination obligatoire.
Le 15 septembre, ils étaient une vingtaine de pompiers à dénoncer leur refus face à l’obligation vaccinale sur le parvis de la préfecture. Ces soldats du feu font partie depuis mercredi de la liste de ceux qui vont être suspendus de leur contrat de travail sans aucune indemnité.
« M. Le Président par l’obligation vaccinale que vous avez mise en place sans vous soucier si vous avez provoqué la ruine de nos familles vous avez déchiré nos cœurs », déclare un pompier à l’aide d’un micro, « mais c’est là votre manière de diriger la France ».
« Aujourd’hui, 20 sapeurs-pompiers », poursuit-il, « en tant que gens responsables, vont déposer leur casque, symbole de leur suspension. Privés de leur passion, leur raison d’être, leur engagement à sauver au péril de leur vie, mesdames et messieurs les sapeurs pompiers, à vous et vive la France », rajoute-t-il avant de procéder à l’énumération des suspensions en question.
« M. Le Président par l’ #ObligationVaccinale que vs avez mise en place sans vs soucier si vs avez provoqué la ruine de nos familles vs avez déchiré nos coeurs ? » Les #Pompiers de Strasbourg déposent leurs casques: 25 ans, 15 ans, 5 ans de service ts suspendus ! C’est à pleurer? pic.twitter.com/M8lQjhFH2z
— LE GÉNÉRAL 0FFICIEL.? (@LE_GENERAL_0FF) September 15, 2021
Les pompiers ont ensuite déposé leurs casques au sol, suivis par quelques personnels de la santé qui ont également jeté leurs blouses blanches pour protester contre la vaccination obligatoire.
Au micro de France 3, Caroline (dont le prénom a été changé) explique que malgré la perte de salaire, « on tiendra des semaines, quelques mois peut-être. Cette situation va plonger beaucoup de personnes dans la précarité. » « Nous avons une famille à nourrir mais nous saurons rebondir ».
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